MARGOT VII s’est rendue à Vienne, la capitale autrichienne où l’histoire se mêle à la modernité avec une grâce inégalée. Entre promenades dans les rues pavées bordées de palais impériaux, instants suspendus dans les cafés légendaires et soirées au cœur des plus belles salles d’opéra d’Europe, la créatrice a vécu une parenthèse où l’art et la beauté se répondent avec justesse.

L’art de vivre viennois, entre tradition et avant-garde

À Vienne, tout respire la culture. La ville est une partition vivante, où chaque façade raconte une histoire, chaque son résonne comme un écho de Mozart, Mahler et Strauss. MARGOT VII s’est laissée envelopper par cette atmosphère rare entre faste impérial et minimalisme contemporain. Le Ring, le Belvédère, les cafés historiques comme le Central ou le Demel, autant de lieux où le temps semble suspendu, où l’on célèbre encore la lenteur, l’observation et la conversation. Mais Vienne ne se limite pas à son héritage. La ville bouillonne d’une énergie créative nouvelle. Les jeunes artistes, les designers émergents et les galeries indépendantes du quartier de Neubau ou du MuseumsQuartier redessinent les contours d’une capitale culturelle moderne. C’est dans cette tension subtile entre héritage et renouveau que MARGOT VII a trouvé un écho à son propre univers.




Une soirée à l’Opéra, la robe “Diana” sous les dorures

Point culminant du séjour, une soirée à l’Opéra Staatsoper de Vienne, pour la pièce Tannhäuser, dirigée par Axel Kober. Sous les dorures, les balcons sculptés et les plafonds peints, la créatrice a assisté à une représentation envoûtante, symbole absolu de la culture viennoise. Pour l’occasion, elle portait la robe Diana, photographiée par Pascal Schreiber, l’une des pièces phares de la Maison. Une création qui incarne tout l’esprit de MARGOT VII : la pureté d’une ligne, la puissance d’un drapé, l’éclat discret d’un tissu qui capte la lumière sans jamais la dominer. Au cœur de cette scène grandiose, la silhouette de MARGOT VII se découpait comme un hommage à la féminité contemporaine. Le contraste entre l’architecture classique du lieu et la modernité fluide de la robe Diana créait une image presque cinématographique celle d’une femme libre, cultivée, et profondément ancrée dans son temps. Sur ce thème de soirée à l’opéra, MARGOT VII vous propose une sélection chic comprenant la robe Lola, l’ensemble You ou encore la robe Étoile.




Vienne, source d’inspiration pour la mode et la création

Pour une créatrice comme MARGOT VII, chaque voyage est une immersion esthétique. À Vienne, la rigueur géométrique des bâtiments, les motifs floraux de la Sécession viennoise, et la douceur de la lumière hivernale ont offert une palette infinie d’inspirations. Les œuvres de Klimt et Schiele, les architectures de Josef Hoffmann ou d’Otto Wagner, tout rappelle ici que la beauté peut être à la fois rationnelle et sensuelle. Cette dualité, MARGOT VII la cultive depuis ses débuts, un jeu permanent entre structure et mouvement, entre couture et émotion. Dans les ateliers viennois comme dans les galeries d’art contemporain, elle retrouve cette quête de l’équilibre parfait celui où chaque détail compte, où la forme devient langage. 


La mode à Vienne, sobriété, architecture et précision

Souvent discrète sur la scène internationale, la mode viennoise se distingue par une élégance silencieuse et une rigueur presque architecturale. Les créateurs locaux privilégient les lignes pures, les volumes précis, les matières naturelles et la durabilité. Dans cette approche, MARGOT VII reconnaît une affinité profonde. Ses créations partagent cette même exigence, un raffinement sans ostentation, une féminité affirmée mais subtile, où chaque coupe raconte une histoire et chaque couture reflète une émotion. En rencontrant des figures locales du design et de la couture, MARGOT VII a redécouvert la valeur du geste, de la patience et de la transmission des principes qui animent également la Maison.Dans cette ville où tout semble orchestré avec harmonie, MARGOT VII a trouvé matière à réflexion et à rêverie. Vienne lui rappelle que la modernité n’existe que lorsqu’elle respecte le passé, que la beauté réside dans la nuance, et que la féminité se définit avant tout par la liberté. Alors que les lumières de Vienne s’éteignent sur les dômes baroques, MARGOT VII repart avec des images, des sons, des impressions et sans doute les premières esquisses d’une inspiration nouvelle. De l’opéra à la ruelle pavée, des ors impériaux aux lignes contemporaines, ce week-end aura été une célébration du dialogue entre l’histoire et le présent, entre la culture et la couture.